Justice

L’UDIS dénonce des inégalités judiciaires dans l’affaire HPO et la liberté provisoire des Bongo

Voici l’article réécrit selon tes consignes :


Les représentants de l’Union pour la démocratie et l’intégration sociale (UDIS) ont exprimé, lors d’une conférence de presse tenue le 22 mai 2025 à Libreville, leur indignation face à ce qu’ils considèrent comme une justice à deux vitesses dans l’affaire d’Hervé Patrick Opiangah (HPO). Tandis que la demande de non-lieu concernant HPO a été rejetée, la demande de liberté provisoire pour Sylvia et Noureddin Bongo a été acceptée par le parquet de Libreville.

« Après la libération et l’arrivée de la famille Bongo à Luanda, l’UDIS a appris avec étonnement que le procureur de la République gabonaise a déclaré que Sylvia et Noureddin Bongo avaient été libérés en attendant leur procès. Le Procureur général a également précisé que le juge d’instruction avait clos son dossier depuis le 28 avril dernier, et que seule la date du procès restait à fixer. Les accusés seront jugés en leur présence ou absence, ayant des avocats pour les représenter. Pourtant, le Président de la Chambre d’accusation semble dire le contraire dans l’affaire Opiangah : il estime que ce dernier n’a pas pu être entendu et qu’un non-lieu serait prématuré. Le juge instructeur, dans ce cas, devrait être confirmé », a souligné Edmond Dominique Epoma Ngadi, porte-parole de l’UDIS, dénonçant cette inégalité de traitement.

Tout comme les avocats de Hervé Patrick Opiangah, le parti politique estime qu’il existe un manque d’égalité devant la justice dans cette affaire. Pour l’UDIS, « la loi doit être appliquée de manière équitable pour tous les justiciables ».

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En fuite depuis six mois, l’ex-ministre des Mines sous le Président Brice Clotaire Oligui Nguema, désormais tombé en disgrâce, est poursuivi dans une affaire de mœurs, que ses soutiens jugent comme une conspiration politique.

« Dans cette affaire, il n’y a ni faute, ni victime (la présumée victime, après avoir été placée en garde à vue pendant 5 jours pour falsifier un témoignage, a rétracté ses déclarations et porté plainte contre le diffamateur). Aucun délit n’a été prouvé, aucune charge n’a été retenue contre Hervé Patrick Opiangah. Dès lors, comment justifier le maintien des poursuites contre lui ? », s’est interrogé, déçu, Edmond Dominique Epoma Ngadi.

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