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Economie

BGFI Holding : le clan Kerangall perd son bras de fer judiciaire

Le 19 septembre 2025, le Tribunal de commerce de Libreville a rendu un verdict qui restera dans les annales du milieu économique gabonais. Le clan Kerangall et ses alliés ont été déboutés dans leur tentative de bloquer l’introduction en bourse de BGFI Holding Corporation à la Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale (BVMAC). Une décision assortie d’une astreinte de 10 millions de FCFA par jour en cas de non-publication du jugement, les contraignant à reconnaître publiquement leur échec.


Une bataille juridique perdue d’avance

Les plaignants — SOGAFRIC Holding, Capella, Selco, Julia Boutonnet, Boris, Christian et Wilfrid Kerangall, Christian Renoux, Romain Boutonnet et Richard Auguste Onouviet — avaient saisi la justice pour contester deux décisions majeures de l’assemblée générale extraordinaire du 25 juin 2025 :

  • l’introduction en bourse de BGFI Holding à la BVMAC ;
  • et l’augmentation du capital social à 157,3 milliards de FCFA.

Mais le tribunal a jugé leurs arguments infondés, estimant que la gouvernance et les procédures de BGFI Holding respectaient les règles en vigueur. Le jugement, publié dans le Journal officiel du 24 septembre 2025, marque ainsi la fin d’un long bras de fer entre les anciens actionnaires et la direction du groupe bancaire.


Le clan Kerangall face à la réalité du droit

Cette décision illustre un tournant symbolique : les héritiers des anciennes familles d’affaires ne dictent plus la marche des entreprises gabonaises. Le tribunal a clairement rappelé que la justice commerciale ne protège pas les privilèges familiaux, mais défend la légalité et la performance économique.
Pour la première fois, le « clan Kerangall » se voit contraint de plier face à une institution judiciaire déterminée à imposer les nouvelles règles du jeu économique.

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BGFI Holding poursuit sa transformation

De son côté, BGFIBank Holding salue une victoire à la fois juridique et stratégique. Selon une source interne, « le plus important, c’est le caractère exécutoire sur provision du jugement ».
En clair, même un éventuel recours des plaignants ne peut pas freiner la mise en œuvre des résolutions adoptées. BGFI poursuit donc son plan d’introduction en bourse, symbole d’un capitalisme gabonais tourné vers la transparence et la performance, loin des querelles héritées du passé.


Un nouveau visage pour l’économie gabonaise

Au-delà du conflit d’actionnaires, cette affaire illustre une mutation profonde du modèle économique national. Le Gabon semble tourner la page du capitalisme d’héritiers pour embrasser celui de la méritocratie et de la modernisation financière.
La BVMAC devient un outil de transformation, tandis que BGFI Holding s’impose comme un acteur clé de cette nouvelle ère.
Le message du tribunal est clair : dans l’économie d’aujourd’hui, la légitimité ne se transmet plus par le nom, mais se prouve par la compétence et la conformité aux lois


 

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